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 (savannah) when you still love me.

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Aaron Rosewood
Aaron Rosewood


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- A emménagé le : 08/08/2013
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MessageSujet: (savannah) when you still love me.   (savannah) when you still love me. EmptyVen 9 Aoû - 16:28



when you still love me.



Ma vie était des plus compliqués en ce moment. Je n'aurai jamais pensé que je me retrouve dans ce genre de situation. J'étais marié à la soeur de ma meilleure amie et depuis un an j'avais une laison avec cette dite meilleure amie. Le pire ? Je l'avais mise enceinte. J'étais conscient que les prochains mois allaient être compliqué et j'avais tenté de la rassurer en disant que je serai là et que je quitterai Rose. Chose que je n'avais toujours pas faire car Rose était un véritable courant d'air. J'aurai pu faire comme beaucoup d'homme, quitter le domicile et envoyer un avocat avec des papiers mais je trouvais ça lâche et je voulais qu'elle l'entende de ma propre bouche que je la quittais. On n'avait été un couple que beaucoup pensait heureux, mais ce n'était pas le cas. A chaque fois j'avais pensé à Savannah et je m'étais rendu compte quand j'avais failli mourir en Irak lors d'un reportage que c'était avec elle que je voulais être. Dire qu'il avait failli que j'ai des éclats d'obus dans la jambe pour m'en rendre compte ! J'étais tranquillement au travail, assis sur mon siège avec mon badge de reporte sur mon bureau. Je devrai le dire à Savannah mais je savais qu'elle le prendrait mal que j'avais récupéré ce dit badge qui avait failli avoir ma mort. Cela faisait plusieurs semaines que je l'avais récupéré, et je n'en avais toujours dit un mot. Mon rédacteur en chef avait décidé de me le rendre à condition que pendant un an je fasse que des reportages dans le secteur. J'avais essayé de lui montrer que j'allais très bien, pouvant retourner sur le terrain et il avait refusé. Sans doute avait-il peur qu'il ne m'arrive quelque chose encore et que cette fois-ci je m'en tirai pas. J'avais prévu de passer l'après-midi à être autour de la ville avec mon petit poulain, Sydney. Il m'avait été d'une grande aide quand j'avais été rétrogradé à simple journaliste, et à présent je lui donnais des cours de photographies pour mettre en valeur son talent. Midi et demi approchait, et la pause déjeuner allait commencer. J'avais prévu de retrouver Savannah pour que l'on déjeune tranquillement ensemble. On se voyait peu ses temps-ci, la situation nous permettait pas encore de nous affiche en public comme un couple normal. J'espérais vraiment que tout ça rentrerait dans l'ordre bientôt car le stress était loin d'être bon quand on attendait un bébé. Je pris mon badge, le mis dans ma poche et pris la direction de l'ascenseur pou rejoindre le centre ville. J'en avais pour un quart d'heure à pied. En arrivant, je montais les étages, connaissant le chemin par cœur. Je ne savais plus combien de fois j'avais fait ce petit trajet. En tout cas je saluais la secrétaire de Savannah avant d'aller frapper à son bureau. J'y allais toujours directement. J'entrai après quelques secondes d'attente. « Tu es prête pour déjeuner ? »


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Savannah L. Severide
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MessageSujet: Re: (savannah) when you still love me.   (savannah) when you still love me. EmptySam 10 Aoû - 8:58

« Arrête de gigoter… » marmonna t’elle au petit être dans son ventre, qui ne devait pas être plus gros qu’une crevette. En tous cas, il ou elle était assez gros pour faire des vagues, un tsunami, à l’intérieur de son ventre. Même si ça ne voyait pas, Savannah sentait les remous et elle n’appréciait pas tellement ça. Elle ne pouvait plus rien faire, comme si ce bébé lui pompait toute son énergie. Elle qui se levait habituellement à six heures pour un footing d’une heure, été comme hiver, arrivait, désormais, tout juste à émerger à huit heures. Et encore, parce qu’elle devait aller travailler. Sinon, elle dormait jusqu’à dix heures. Si on lui avait dit que ce serait un tel carnage, sans doute y aurait elle réfléchi à deux fois au lieu de prendre n’importe comment la pilule. Et elle n’osait même pas imaginer l’accouchement. Le téléphone sonna et elle mit le haut parleur, trop affairée sur le plan d’une luxueuse maison. « Oui ? » « Comment tu te sens ? » Savannah leva les yeux au ciel. Alex ne la laisserait pas mourir de faim, de soif, d’épuisement ou de quoi que ce soit d’autre. Mais, aussi prévenante fut son amie, elle en devenait rapidement agaçante. Si on ne pouvait pas dire qu’en temps normal, Savannah était quelqu’un de patient, il était clair qu’avec les hormones, elle pouvait très aisément devenir incontrôlable. « Grosse. Mes seins sont énormes, j’ai les chevilles gonflées et j’ai tout le temps faim ! D’ailleurs, où est le responsable de mon malheur ? Il est en retard ! » « Non, il n’est pas en retard. » Ah. La jeune femme soupira, s’excusant de sa mauvaise humeur. Mais Alex ne s’en formalisait guère. Il fallait dire qu’avec sa famille aussi nombreuse que s’ils étaient mormons, elle avait une grande expérience des grossesses, et ce n’était donc pas ça qui allait lui faire perdre son calme légendaire. Souvent, Savannah se demandait comment elles pouvaient si bien s’entendre alors qu’elles étaient si différentes. Ce faisait, elle continuait son travail, se perdant tellement dedans qu’elle en perdit la notion du temps. Elle n’en fut sortie que par quelques coups frappés à la porte de son bureau, et ladite porte qui s’ouvrait, laissant passant un bel homme brun. Comment avait elle pu ne jamais remarquer à quel point Aaron était sexy, avec ses yeux bleus, son sourire charmeur et sa petite barbe rousse de trois jours ? En tous cas, sa sœur l’avait clairement remarqué. Même si elle était folle du jeune homme, Savannah jubilait intérieurement en songeant qu’elle avait volé le mari de sa sœur si parfaite aux yeux de tous. De toutes les façons, son absence de relations stables lui avait offert, au sein de sa charmante famille de bourgeois guindés, une réputation de trainée. Alors foutue pour foutue, autant qu’elle fasse bien les choses en se faisant mettre enceinte par le mari de Rose ! Tant qu’à faire. Ce serait probablement le genre de discours que lui tiendraient ses parents lorsqu’elle leur annoncerait sa grossesse plutôt inattendue. Totalement surprise, même. Elle n’osait même pas imaginer ce qu’ils diraient lorsqu’ils apprendraient qui en était le responsable. Que feraient ils, de toute façon ? Ils lui couperaient les vivres, la déshériteraient ? Elle vivait tout aisément que lorsqu’elle était sous leur responsabilité, sauf qu’elle était parfaitement indépendante. Quant à Aaron, s’ils voulaient lui ruiner, elle ne les laisserait pas faire. Du fait de son travail, Savannah connaissait d’excellents avocats. Bien meilleurs que ceux que ses parents songeraient à engager. Bien entendu, elle n’avait encore rien dit de tout cela au jeune homme. Il n’était pas nécessaire de l’affoler pour le moment. Pas encore. Elle lui sourit, tandis qu’il l’interrogeait de sa voix veloutée. « Je meurs de faim. Je me demandais ce que tu fichais. Alex m’a soutenu que tu n’étais pas en retard, mais je crois qu’elle a dit ça parce qu’elle en pince pour toi. » « Je t’ai entendue, espèce de garce ! » La porte était juste poussée, et c’était bien pour cela qu’elle en avait profité pour lancer une petite pique à son amie.
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Aaron Rosewood
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MessageSujet: Re: (savannah) when you still love me.   (savannah) when you still love me. EmptySam 10 Aoû - 11:56



when you still love me.



J'avais passé la journée à rédiger quelques articles et je me rendais compte à quel point mon véritable me manquait tellement. Je n'étais pas fait pour être employé de bureau mais pour être vraiment sur le terrain. Prendre des photos marquantes pour montrer aux gens qui restaient sagement chez eux, ce qui se passait réellement dans le monde, comme pour tenter de changer une quelconque mentalité. Cela ne me faisait pas sourire quand j'entendais des personnes dire que ce qui se passait n'était qu'un théâtre. J'avais vu beaucoup d'horreur, j'avais souvent été touché et je m'étais toujours dis qu'un jour j'aiderai ces populations à repartir d'un bon pied. On ne pouvait pas rester indifférent sur la misère du monde. C'était à peu près ce discours que je disais à mon supérieur depuis un an, voulant qu'il me redonne mon badge. Sans doute en avait-il marre de me voir dans son bureau pratiquement chaque jour, il me l'avait rendu en disant que je resterai au moins un an autour de la ville suite à ma blessure. C'était vrai que de temps en temps j'avais encore mal, mais je ne me plaignais jamais. C'était les conséquences par moment d'un métier où on était au plus près du danger. Je n'avais encore rien dit à Savannah à propos de ça, car sans doute elle me tuerait. Elle avait déjà fondu en larmes quand je m'étais réveillé et avait déclaré qu'elle avait eu la peur de sa vie. Je ne pouvais pas lui dire ça maintenant, surtout qu'elle était enceinte et que le stresse n'était pas du tout bon quand on attendait un enfant. Je n'avais pas mis longtemps pour rejoindre son immeuble où elle travaillait. J'étais passé rapidement devant sa secrétaire avant de rejoindre Savannah. Je lui avais demandé si elle était prête pour aller déjeuner, et elle disait qu'elle mourrait de faim et que j'étais en retard. Je consultais ma montre rapidement. « Je t'avais dis midi et demi, j'ai que cinq minutes de retard, et pourtant j'ai fais vite. » Fis-je avec un sourire délicat. Je ne pus m'empêcher de rire quand elle me déclarait que sa secrétaire avait dit que je n'étais pas en retard, et que Savannah disait qu'elle me protégeait car elle en pinçait pour moi. J'entendis justement sa secrétaire répliquée, ce qui me fit encore plus rire. « Ah, tu serais jalouse Savy ? » Je m'approchais d'elle avant de l'entourer de mes bras. J'avais toujours mon sourire sur le visage. A ses côtés je ne me sentais pas comme avec Rose, j'étais moins tendu, plus détendu. Avec Rose ça avait toujours été compliqué, et il n'était pas rare que j'étais souvent sur les nerfs. Avec Savannah, c'était différent, on se connaissait par cœur. « Vous allez bien tous les deux ? » Je n'avais pas pris la fuite quand elle m'avait dit qu'elle était enceinte, j'étais totalement responsable de cette situation. J'avais pris conscience qu'il fallait que je quitte Rose au plus vite, et j'y arriverai. Je déposais un baiser sur ses lèvres car je savais qu'ici au moins on pouvait être tranquille. Quand on se promenait tous les deux en ville, on devait être assez prudent, mais ici je me sentais en sécurité. « Tu as une préférence pour le déjeuner ? »


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